La réception de Nantes reportée au 13 février
"Une préparation dans l'optique de nos quatre matches en 15 jours"
"Je me répète, ce ne sont pas des choses que l'on maîtrise. Il y a des choses plus graves dans la vie. Avec l'enchaînement des matches, ça va être dur pour nous, pour Nantes... C'est dur pour tout le monde. Regardez les Strasbourgeois. A chaque fois que j'allume ma TV en ce moment, j'ai l'impression qu'ils jouent (le Racing a disputé cinq rencontres en l'espace de 16 jours depuis le début de l'année 2019). On a déjà adapté notre programme en conséquence. On a réfléchi et on a envisagé plusieurs options. On va voir après le match de Montpellier pour faire une bonne préparation dans l'optique de nos quatre matches en 15 jours (possiblement en 11 !)".
Le tirage au sort de la Coupe de France
"Bastia, un club dont je suis supporter depuis toujours"
"C'est un très bon match à jouer contre un club historique, qui connaît très bien la Coupe de France et qui y a souvent brillé (vainqueur en 1981, finaliste en 1972 et 2002). On sait qu'un match difficile nous attend contre une équipe de valeur. Personnellement, je suis content d'aller jouer à Bastia car je suis supporter de ce club depuis toujours. En plus, notre entraîneur des gardiens, Hervé Sekli, a réalisé toute sa carrière là-bas. Il a travaillé avec Stéphane Rossi (son homologue du Sporting) la saison dernière. Je l'apprécie beaucoup, humainement. On a passé nos diplômes ensemble. On s'est affrontés de nombreuses fois".
La coupe bénéfique pour le championnat
"Ne plus baisser de niveau en terme d'état d'esprit"
"On ne peut pas dissocier notre match en Coupe de France (succès 6-0 aux dépens de Viry-Châtillon, R1) de celui face à Marseille (défaite 1-0). On n'a pas été payés mais on a continué, on a insisté. Certes, c'était le petit poucet mais il fallait se qualifier. D'autres sont tombés avant nous. Il y avait déjà eu des surprises. Nous, on n'est pas tombés dans le piège. On a montré qu'on était capables de marquer, de cadrer, de frapper... On le savait déjà. Il faut s'en servir pour aller se donner plus de force pour aller chercher un résultat à Montpellier. Sur nos deux derniers matches, les attitudes sont bonnes, l'état d'esprit est bon. C'est une sacrée protection. On ne peut plus se permettre de baisser dans ce domaine. C'est comme ça qu'on aura une chance de se maintenir en Ligue 1".
Le match aller contre Montpellier
"L'une de nos plus grandes frustrations"
"Est-ce que le match aller est l'un des plus aboutis de notre côté (2-2 le 26 septembre, J7) ? Peut-être mais c'est aussi l'une de nos plus grandes frustrations. On avait été cueillis sur des coups de pied arrêtés. Montpellier est une très belle équipe qui maîtrise son système (avec une défense à cinq ou à trois). Il faudra faire une prestation de très haut niveau pour espérer rapporter un point. Et si on s'accroche très fort à ce point, peut-être qu'il se transformera en trois. Je ne dis pas ça pour faire peur. C'est juste la vérité. Certes, les Montpelliérains n'ont pas gagné depuis longtemps* mais ils se sont beaucoup déplacés (premier match de La Mosson de l'année 2019). Ils vont tout faire pour nous mettre la pression".
*Six matches toutes compétitions confondues sans victoire avec deux défaites pour trois nuls + une élimination en 1/32e de finale de la Coupe de France.
La dernière ligne droite du mercato
"On a avancé sur des dossiers"
"Je le répète pour la 199e fois, on cherche un joueur qui nous apporte une plus-value. Ça ne sert à rien d'ajouter un joueur pour en ajouter un. En plus, on a de très bons joueurs au centre de formation. Je préfère ne recruter personne s'il ne nous apporte pas un plus. La possibilité que personne ne nous rejoigne existe mais des dossiers ont avancé. On est comme les joueurs avant d'aborder un match décisif : concentrés pour ne pas faire d'erreur. J'espère qu'on va recruter quelqu'un. Le groupe est intéressant au niveau de la qualité. Il manque juste un petit truc".
> L1. J22 - Montpellier (6e) / SM Caen (16e), dimanche 27 janvier à 15 heures au stade de La Mosson.